Poèmes écrits par des fans de la série lesbienne The L Word avec Jennifer Beals, Sarah Shahi, Kate Moennig, sur les personnages Bette Porter, Tina Kennard, Carmen, Shane, - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
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Quand je dors, je rêve de toi
Quand je mange, j'ai faim de toi
Quand je cours, je cours vers toi
Quand j'ai mal, j'ai mal de toi
Mes journées pleines de toi
Glissent vers où ? Je ne sais pas
Jennifer ma vie sans toi
Est sans saveur, pleine de quoi ?
Pleine de vide, d'absence de toi
Moi, quand je vis, je meurs de toi.
Chazam2b, le 07/11/2007
Le pétale que j'ai déposé sur ton coeur
est devenu fleur
Notre amour recommence
avec une telle romance
Tu prends de la place dans mon lit,
Mais j'aime bien le voir rempli
Si je possédais les ailes d'une abeille,
Je volerais sut tes rayons de soleil
Toutes ces nuits ou j'ai pleuré,
C'est loin de toi que je les ai passées
Tu vis avec la délicatesse d'une grand dame
Je vis avec la détresse d'une pauvre femme
L'amour possède tout
Le nôtre est ressortit d'un coup
Alex, 27/03/2008
Trois mots sortis d'un coup
Trois mots disant tout
Trois mots pourtant simplistes
Trois mots qui rendent la vie belle ou triste
Si simple à dire
Sidur de les penser
Si facile de les prononcer
Si difficile d'y croire
Invisible la plupart du temps
Ils habitent le coeur passionnément
Souvent, ils sont difficiles à avouer
Souvent, ils sont oubliés
Il serait si simple de les dire
On en serait enfin libéré...
Mais à la simple crainte de tout gâcher
On a tellement peur de détruire une forte amitié
Alex, 27/03/2008
salut à toi, l'ange de tout mes cauchemards,
L'âme au fond de la chambre,
Le femme insuspectée des ténèbres dans la vallée,
Nous pourrions vivre comme bon nous semble si nous le voulions, ou tu peut toujours me trouver...
Nous fêterons la Saint Valentin à l' Halloween,
Et pendant la nuit, nous souhaiterons que cela ne se finisse jamais....
I miss you, I miss you
I miss you, I miss you
Où est-tu et je suis tellement désoler,
Je ne peux pas dormir, je ne peux pas rêver ce soir,
J'ai besoin de toi et pour toujours,
car cette étrange ombre de toi malsaine,
Qui vient en rempant pour me hanter tout le temps,
Et j'ai commencer à fixer et à compter
Les choses qu'il me reste de toi,
et tout ça m'attrape et mange mes entrailles,
Comme l'indésision de t'appeller,
et que tu entende ma voix trétrise,
Est-ce- que tu viendra ce soir arrêter cette douleure ??
ARRETE CETTE DOULEURE CE SOIR !!!
Mais ne perd plus ton temps avec moi...Ta voix résonne déja dans ma tête
Mais ne perd pas ton temps avec moi..Ta voix résonne encore dans ma tête..
Shane...
Danalara le 11/04/2008
Je l’admire Elle désire mon corps Je l’adore Elle est mon amante Je couche avec elle Elle a mes week-ends Je l’apprécie Elle est de la campagne J’aime son art Elle est l’objet d’une rencontre Je choisis mes mots Elle est mon étoile Je dois changer Elle veut son indépendance Je la respecte Elle se venge Je suis une parmi d’autres |
Je suis émerveillée Tu désires mon âme Je te suis consacrée Tu es ma vie, mon sang Je te fais l’amour Tu es mon chez-moi J’ai besoin de toi Tu es de la ville J’aime ta beauté Tu as été créée pour moi Je déverse mon coeur Tu es mon univers Je peux être moi-même Tu veux partager ton monde Je ne vois que toi Tu me pardonnes Je suis l’unique |
Thea, 28/03/2008
Dans tes yeux profonds
Ton air fragile
Je te devine
Divine idylle
L'envie de t'connaitre
Domine tous mes sens
Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle
Je t'admire sur papier
Avant de t'rencontrer
Peut-être te toucher
Mon amie l'idylle
Mon âme idéale
Au regard fatal
Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle
Divine idylle
Mon amie l'idylle
Dans L Word tu brilles
Tu as brîsé nos âmes
Mon coeur s'emballe à t'voir
Je suis plus sur terre
Des étincelles
Il faut que j'me calme
Si je ferme les yeux tu es là
Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle
Divine idylle
Jennifer l'idole
Je rêve idylle
Divine idylle
La femme idéale
Mon idylle
isis95, le 12/05/2008
J’ai reçu une lettre
De Tina il y a un mois
Arrivée en retard
Tendresse de ses mots
Aspergée de parfum
Rouge à lèvre carmin
J’attendais cette lettre
Avec espoir et désir
Mais moi je suis qu’une femme
Qui aime bien ce genre de jeu
Je veux bien qu’elle me nomme
Bette ou Betty c’est comme elle veut
C’est comme elle veut
Des jolies marguerites
Sur le haut de ses « i »
Des courbes arrondis
Comme dans mes rêves
Quelques fautes d’orthographes
Une légère excitation
En guise de paraphe
Ma petite blonde sexy
Et moi je suis une femme
Qui aime bien ce genre de feu
J’en suis folle et dingue
Et j’en suis tombé amoureuse
Amoureuse
Elle écrit que dimanche
Elle s’ra sur l’boulverard
Où je l’ai prise par les hanches
Et que dans l’hypothèse
Où je n’aurai pas le tact
D’assumer mon amour
Elle choisira d’partir
Sur la côte est
Et moi je suis une femme
Qui aime bien ce genre de jeu
Je ne veux pas qu’elle me quitte
Car j’en suis tombée amoureuse
Amoureuse
Grâce au cachet de la poste
D’un quartier de L.A.
J’étais à l’endroit prévue
Au matin du dimanche
L’endroit était désert
Je serai patiente
Une Tina magnifique
Il n’y a en pas 100
Et moi je suis une femme
Qui aime bien ce genre d’enjeu
Je veux la tenir dans mes bras
Car j’en suis tombée amoureuse
Amoureuse
Elle surplombait la ville
Quand je l’ai reconnue
J’les saisie par la manche
Ma petite ingénue
Qui ne l’était pas tant
Au regard du profil
Qu’un petit habitant
Lui faisait sous le nombril
Refrain….
ISIS, le 14.05.2008
Quand j’s’rai à la convention
Ou bien sur le tournage
En regardant leurs aventures
… C’est vrai…
Que tous les costumes leurs vont bien
Carmen, Alice, Tasha, l’espoir, en moi !
De toutes les actrices, j’aime les voir
(Bien heureuse ou bien malheureuse)
C’est Tina qu’est-ce qu’elle y peut
Faudrait savoir c’ que tu veux
C’est Betty qu’est-ce qu’elle y peut
Faudrait savoir c’ que tu veux
Oui, quand les verrais en face
Enfin je saurai quoi leur dire
Oui, mais,En attendant, je suis accro
… C’est vrai…
Je me dérobe et je me file
Je pleure, je ris, j’ai peur, accro je sais
De toutes les actrices, j’vais les voir
A qui la faute ?
Je suis l’une ou l’autre
Addicted
A qui la faute ?
Je suis l’une ou l’autre
Faudrait savoir c’ que tu veux
C’est Carmen, qu’est-ce qu’elle y peut
Faudrait savoir c’ que tu veux
Après tous qu’est ce qu’elle y peut
Faudrait savoir c’ que tu veux
Quand j’aurai été à la convention
J’s’rai encore plus accro
En attendant je les regarde
Devant mon poste de télévision
Faudrait savoir c’ que tu veux
C’est Tina, qu’est-ce qu’elle y peut
Faudrait savoir c’ que tu veux
C’est Betty, qu’est-ce qu’elle y peut
Quand j’s’rai accro, j’s’rai dans le showbiz
isis, le 15.05.2008
En hommage à Sappho
Une nuit semble si courte ma douce
Et pourtant une nuit est éternité ce soir
Nos corps allongés dans la mousse
Aux parfums qui enivrent et font choir
Toi belle humaine que j'enlève au monde
Tel Paris kidnappant Helene de Sparte
Dans mes bras tu tisses désormais ta ronde
Au risque d'enfreindre des dieux la charte
Tambours de Troie, de Marathon ou de Thermopyles
S'estompent lorsque je me perd dans tes yeux
Tes baisers m'abreuvent plus que la crue du Nil
Pourpres tes joues qui s'enflamment de mil feux
A toi seule je veux cette nuit m'abandonner
Oublier ma nature et devenir simple mortelle
Explorer mes sens et leurs désirs inavoués
Tatouer ton nom sur ma peau inallienée
Thea, le 06.07.2011
En hommage à Sappho
Assise entre mes jambes dénudés.
Dos a moi, le bustier détaché
Tu te sens bien, tu te détends
Tu ressens mes mains qui parcourent
Ton cou, tes épaules
Mes mains dansent sur ton dos
D'abord au rythme d'un slow sensuel
Avant de se lâcher dans un tango endiablé
Tu frissonnes à leur contact
Frissons de plaisir
Mes mains jouent sur ton dos
Mes doigt s’enfoncent dans ta peau
Ca te fait du bien, tu oublies le monde et ses tracas
De la nuque aux reins mes mains dévalent sur ton dos
Tout au long de ta colonne vertébrale
Mes doigts explorent ton dos
Tu te décontracte, ton dos s’arrondit
Des frissons se dessinent
Moi je continue a jouer avec mes mains
A les faire courir sur ta peau
Parfois juste te frôler, là, au bas du dos
Je m'attarde quelque peu sur tes hanches
Encore un frisson
Ta tête se relâche, tu ne dis plus rien
Tu es bien, alors que ton souffle se fait plus court
Avec mes mains je redessine le contour de ton dos
Je le parcours en entier
Chaque geste est prédéfini
Mes mains appuient de plus en plus sur ton dos
Elles ne font plus qu’un avec ta peau
Leurs chaleur se mélangent à celle de ton corps
Mon souffle se fait plus saccadé
Il se perd dans ton cou
Encore un frisson
Mais tu t'abstiens
Plus le temps passe et plus je relâche cet appui
Pour finir par te frôler a peine
Juste t’effleurer du bout des doigts
C’est a leur tour de courir sur ton dos
Tout en légèreté, telle un ballerine
Il n’y a plus que des caresses
Un dernier frisson
Le temps s’arrête
On est bien
Thea, le 06.07.2011
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La collection d'Angie
7°/ La raquette de Dana
8ème indice : Elle est la première à avoir accepté de jouer dans "The L Word".